Projets terminés

Projet  – Brevets

Le brevet d’invention est une composante importante de l’Information scientifique et technique. Il est un ressort de l’innovation et côtoie, avec des caractéristiques propres, les articles de périodiques scientifiques. A ce titre c’est aussi un indicateur de R&D important utilisé dans de très nombreuses analyses économétriques et purement quantitatives de la science et de l’innovation. En tant que proxy de la capacité d’invention ou d’innovation il présente cependant un certain nombre de limites bien identifiées dans la littérature.

Le projet vise les demandes de dépôt de brevets français présents sur la base internationale Espacenet. Une analyse lexicographique par le biais d’outils tels qu’Iramuteq, Gargantext ou assimilés permettra de développer des indicateurs et variables qualitatives pour caractériser un brevet. Il s’agit de permettre d’évaluer des dimensions souvent négligées ou mal appréhendées par les approches utilisant des variables strictement quantitatives en terme de comptage de brevets : évaluer leur degré de nouveauté et/ou d’inventivité, caractériser les relations science-industrie qui les sous-tendent, prendre en compte les influences et filiations entre brevets, la nationalité des inventeurs ou des déposants, etc.

Plus précisément l’analyse textuelle comportera deux axes complémentaires:
a) la collecte et l’analyse d’éléments factuels portant sur : (i) l’aspect juridique de la brevetabilité, (ii) la caractérisation des inventeurs et demandeurs issus de l’industrie et de la recherche publique, (iii) la contextualisation au plan international des familles de brevets ayant une souche française ;
b) la conception et la mise en œuvre d’une méthodologie lexicométrique originale utilisant les citations.
La méthode et les indicateurs développés seront testés et appliqués à deux ensembles particuliers de brevets afin d’en identifier les spécificités : les brevets de souche française, d’une part, et les brevets co-déposés (co-inventés) par des (membres de) centres de recherche publique et par des (chercheurs et ingénieurs en) entreprises, d’autre part.

 

Membres du projet :
• Manuel Durand-Barthez (Conservateur, Urfist de Paris, Ecole nationale des Chartes)
• Hélène Skrzypniak (MCF, Urfist de Bordeaux, IRDAP, Université de Bordeaux)
• David Reymond (MCF, IMSIC, Université de Toulon)
• Sandrine Wolff (MCF, Urfist de Strasbourg, BETA, Unistra)

Projet  – Enquête IST

 

Il existe aujourd’hui une grande diversité d’enquêtes sur les pratiques en IST portant sur des objets variés (supports, disciplines ou champs de savoir, type de public, …). Les modalités d’investigation y sont souvent hétérogènes et s’appuient sur des approches méthodologiques qui restent spécifiques. De ce fait, malgré leur richesse, les résultats restent donc difficilement comparables et les acteurs de l’IST n’y trouvent pas toujours matière à déceler des besoins ou des tendances.

Le projet « Enquêtes sur les pratiques IST des chercheurs », engagé en 2018, a pour ambition de recenser les principales enquêtes menées en France et à l’étranger sur les pratiques IST des chercheurs afin d’en tirer divers enseignements.

Il s’inscrit dans le prolongement de réflexions et de travaux réalisés par les URFIST de Nice et de Rennes, et ce en cohérence avec les actions engagées au sein de BSN 9, en particulier un premier recueil mené dans le cadre de l’étude conduite par BSN9 et le cabinet MFdoc sur les formations à l’IST. Il a vocation à s’articuler avec d’autres projets, portés au sein du GIS (« Enquêter sur les pratiques des enseignants-chercheurs en matière de données de recherche : quelle méthodologie ? »), ou à l’extérieur (travaux qui seront issus de CoSO).

 

Il se structure autour de deux objectifs majeurs : d’une part réaliser un état des lieux et constituer un corpus des enquêtes menées sur les pratiques IST des chercheurs, en exploitant l’ensemble des documents qui peuvent y être associés ; d’autre part, sur la base des analyses qui seront menées sur ce corpus, faire des propositions de cadre conceptuel et méthodologique pour l’observation et l’étude des pratiques informationnelles des chercheurs, liées à l’IST.

Membres du projet :
– Marie-Laure Malingre, Conservateur des bibliothèques, Co-responsable de l’URFIST de Bretagne et Pays de la Loire 
– Claire Denecker, Conservateur des bibliothèques et Co-responsable de l’URFIST de Lyon
– Gabriel Gallezot, Maître de conférences, Co-responsable de l’URFIST Méditerranée, Directeur du GIS
– Florence Thiault, Maître de conférences, Co-responsable de l’URFIST de Bretagne et Pays de la Loire (depuis septembre 2018)
– Annaïg Mahé, Maître de conférences, Co-responsable de l’URFIST de Paris (depuis septembre 2018)

A participé au projet jusqu’en août 2018 : Alexandre Serres, Maître de conférences, Co-responsable de l’URFIST de Bretagne et Pays de la Loire

 

Projet  – Pédagogie Ludique

 

Le Service Commun de la Documentation de l’Université de Guyane s’est lancé depuis 2015 dans une restructuration complète de son offre de formation à destination de ses étudiants de Master et de Doctorat. Misant sur une approche innovante de pédagogie active et ludique, le SCD a déjà créé sept jeux pédagogiques à destination de ces publics : : Super-Open Researcher, #Réseauxsociaux, Open Strategist, Fastoche Hal, Licences to kill, To be in the norms Révise tes bases ! Quatre d’entre eux ont été traduits en langue anglaise et diffusés à l’international: Licenses to kill VE, To be in the norms VE, Super Open-Researcher VE, Open Strategist VE.

Ce projet soutenu par le GIS URFIST consiste en la création de deux nouveaux jeux sérieux et d’une bande dessinée pédagogique :

  • Le jeu « Reste en veille ! » porte sur les différentes techniques de veille documentaire pouvant être mises en place dans une stratégie documentaire.
  • Le jeu « Dura Lex, Sed Lex » porte sur les principaux points juridiques liés au respect de la réglementation dans les domaines de la culture et de la science. Marie-Rose Borges (Maître de conférences HDR en droit privé, Université Clermont-Auvergne, IRPI (Paris II Panthéon-Assas) en est l’expert juridique.
  • Une bande-dessinée pédagogique d’environ 10 pages est en train d’être créée sur les questions bibliométriques à partir du cours dispensé par Annaïg Mahé lors de l’Open Access Week organisé à l’UG en 2019. Cette dernière en est également la responsable scientifique. (Cette partie du projet est finalisée et disponible ici : https://zenodo.org/record/3932024#.X38iFWhKi70 )

À l’issue de leur réalisation, ces trois produits ludiques seront librement et gratuitement mis à disposition de la communauté universitaire via leur dépôt sur la plateforme d’archivage pérenne Zenodo. L’achat d’exemplaires imprimés sera également possible.

 

Porteur de projet : Marie Latour, Directrice adjointe du SCD de l’Université de Guyane

Marie LATOUR, « Le choix des jeux sérieux à l’université de Guyane », Bulletin des bibliothèques de France (BBF), 8 décembre 2020.
En ligne : https://bbf.enssib.fr/matieres-a-penser/le-choix-des-jeux-serieux-a-l-universite-de-guyane_69790

 

Projet –  SPOC QUERO

 

Le SPOC QUERO – QUalité Editoriale Référencement et Outils est né d’une initiative de l’UT2J (Université Toulouse Jean-Jaurès) et a pour objectif de professionnaliser les porteurs de revues scientifiques en s’appuyant sur un dispositif pédagogique certifiant, innovant et ouvert en matière de qualité éditoriale. Il est développé dans le cadre de Repères, réseau de pépinières de revues scientifiques créé en décembre 2018 à l’initiative de l’université de Lyon 3 et de la MSH Dijon. Repères fédère des plateformes d’édition numérique en SHS et STM afin de sensibiliser aux enjeux de l’édition en accès ouvert : visibilité internationale, édition structurée multi-supports et interopérabilité.

 

Le SPOC vise à toucher des publics spécifiques pour faire évoluer les pratiques professionnelles et favoriser l’acquisition de compétences : presses universitaires, responsables de revues et équipes éditoriales (toutes disciplines), professionnels IST en appui, au niveau national et international dans l’espace francophone. Conçu pour donner lieu à une labellisation (au niveau de la revue), il doit favoriser l’indépendance et la pérennité technique des revues et aider à consolider les presses universitaires.

 

Le SPOC proposera un parcours pédagogique consacré aux bonnes pratiques en matière d’édition (périmètre des revues) : vocabulaire et acteurs de l’environnement de l’édition scientifique publique ouverte, cadre légal pour la création et diffusion d’une revue scientifique, standards internationaux de qualité éditoriale (DOAJ et Latindex), métadonnées et formats, systèmes de référencement, suivi éditorial et outils d’édition structurée. Hébergé sur une plateforme publique, le SPOC composé de modules (tests, évaluation) sera pleinement réutilisable par d’autres établissements et distribué sous licence CC BY-NC.

 

Animateurs équipe projet : Françoise Gouzi (UT2J, DAR, chargée d’IST, co-pilote du GT Revues UT2J) ; Armelle Thomas (MSH Dijon, uB/CNRS, chargée d’IST, co-pilote du réseau Repères) ; Jean-Luc de Ochandiano (Université Lyon 3, conservateur en chef des bibliothèques, co-pilote du réseau Repères) ; Bernard Pochet (responsable portail de la pépinière PoPuPs et responsable de l’appui à la recherche et l’enseignement pour l’ULiège Library – Belgique ; Cédric Peyronnet (ingénieur pédagogique, TICEA, Université Toulouse Capitole).

Equipe projet élargie : Amélie Barrio (URFIST Occitanie), Bruno Bastard (réalisateur, DTICE, Université Toulouse – Jean Jaurès), Claire Denecker (URFIST Lyon), Florence Thiault et Marie-Laure Malingre (URFIST Bretagne et Pays de la Loire), Marie-Françoise Brémond et Karien Bacher-Eyroi (SCD, UT1 Capitole), Edith Cannet (Presses Universitaires de Caen / MRSH – Pole Document Numérique, Université de Caen), Anaïs Paly et Florence Daniel (MSH Bretagne), Véronique Cohoner (MSH Nantes), Anabel Vazquez (CAK, EHESS/CNRS, Paris), Poupak Rafii Nejad (CNRS – UMR 8041 – CeRMI, Ivry), Daniel Battesti (MSH Dijon).

 

Projet –  Netconf

 

L’ objectif de ce projet est de caractériser l’ effet que les congrès peuvent avoir sur la dynamique des réseaux scientifiques et leur internationalisation.

Pour améliorer la compréhension de l’épaisseur sociale de l’activité scientifique, et du rôle des congrès dans les circulations de connaissance et les collaborations (construction de partenariats), nous proposons de comparer le cas de deux congrès relevant de deux disciplines : chimie et science politique. À partir d’un suivi longitudinal des trois dernières éditions de l’ISGC (Congrès de Chimie Verte se tenant à la Rochelle tous les deux ans) et du Congrès de l’AFSP (Congrès de Science Politique se tenant dans une ville française tous les deux ans), dont les dimensions sont à peu près similaires (700 participants), nous proposons de :

  1. collecter la liste des participants et d’étudier l’évolution de la distribution spatiale des participants (villes et pays d’appartenance) ;
  2. reconstituer les réseaux à partir des liens de coparticipation aux panels et de co-présentation ;
  3. collecter les publications des congressistes via des bases de données bibliographiques et archives ouvertes (WoS, HAL, Cairn et Persée) ;
  4. reconstituer les réseaux d’écriture et de citations entre participants

L’objectif majeur consistera à vérifier l’effet de la coprésence à un panel sur l’apparition d’un nouveau lien de co-écriture et/ou de citation entre participants, et/ou d’une communication commune à l’édition suivante du congrès. Un travail particulier sera fait pour documenter les verrous rencontrés lors de la récupération des informations qui sont de nature variées et plus ou moins ouvertes.

 

Porteurs : Bastien Bernela (CRIEF, Univ. Poitiers) Co-porteurs : Marion Maisonobe (Géographie-cités, CNRS, Paris) & François Briatte (European School of Political Sciences, Lille)

 

Projet – Outils de Formation au Traitement de l’Information Brevet – P2N

La base internationale de l’Office Européen des Brevets est une immense source informationnelle que nous comparons à une encyclopédie technologique. Elle est d’intérêt en intelligence économique, marketing, innovation, et l’ensemble des sciences de l’ingénieur et de la santé en général.

L’utilisation des brevets comme ressource informationnelle était jusqu’alors réservée aux possesseurs de programmes ou abonnements propriétaires dédiés et relativement coûteux qui sont conçus pour des analyses de propriété industrielle. Par construction, P2N est flexible et modulable. Son utilisation ouvre de nouveaux modes d’exploration singuliers (tableaux croisés dynamiques, cartographies et réseaux dynamiques), pour la description et l’analyse des contenus ou encore la création de cartes heuristiques.

P2N reste à ce jour un instrument spécialisé dans la recherche de « documentation brevets », difficile à prendre en main, qui demande à la fois une expérience en propriété intellectuelle ET une expérience dans les outils de traitement de données. Plusieurs heures de formation sont nécessaires (notamment pour des masters), plusieurs jours d’exploration indispensables pour fouiller et explorer des corpus brevet : une utilisation pour laquelle l’utilisateur devra mettre en œuvre différentes techniques de fouille de données textuelles.

L’objectif de ce projet est de consolider le développement de la suite logicielle et, tout en conservant son caractère open-source, d’ouvrir à la communauté son code et sa documentation. De nouvelles fonctionnalités viseront la génération de corpus utiles tant pour alimenter le contenu des formations aux outils des humanités numériques (exploration de graphes, fouilles de données textuelles) que pour les corpus de la recherche dans le domaine.

 

Porteur : David Reymond, université de Toulon (IMSIC)

 

Projet – JNE 2018

7ème journée nationale d’étude du Réseau des URFIST « L’intégrité scientifique au prisme de l’IST » 7 décembre 2018, Université de Paris-Nanterre

La problématique de l’intégrité scientifique a incité le GIS Réseau des URFIST à faire partager à la communauté scientifique ses préoccupations sur ce thème, ajoutant le fruit de ses réflexions « au prisme de l’IST » . Car relativement nombreux furent, récemment, les séminaires portant sur « l’éthique scientifique », tandis que la vocation des URFIST vise plus singulièrement l’Information scientifique en soi. D’où l’originalité de cette JNE.
Isabelle Rivoal, Vice-Présidente chargée de la Politique documentaire, de la diffusion et de la valorisation scientifiques à l’Université de Paris-Nanterre qui accueille cet événement et Marc Bergère, Président du Conseil des Partenaires du GIS Réseau des URFIST, Vice-Président chargé de la Politique documentaire à l’Université Rennes 2, ont impulsé la dynamique de cette initiative.
Une vingtaine d’intervenants issus d’EPST, d’universités et de l’édition scientifique ont illustré les différentes facettes de l’intégrité scientifique au prisme de l’IST face à 147 participants, dont 43 % d’enseignants-chercheurs et doctorants. Étaient également présents plusieurs représentants du réseau national des Référents I.S., ceci renforçant l’aspect très professionnel de cette initiative.
Les évaluations post-événement (recueillies auprès d’un tiers des participants) ont fait apparaître un taux de satisfaction supérieur à 97 % dont 57 % très satisfaits.
Une captation vidéo est mise en ligne fin janvier 2019 : https://urfistjne2018.wordpress.com/videos-et-supports/
Biennale, la prochaine édition de cet événement aura lieu en 2020.

Porteur : Manuel Durand-Barthez

Projet  – Doranum

Au terme des deux années couvertes par la subvention du ministère au titre de BSN9 (2015-2017), DoRANum (http://doranum.fr) voit le jour en décembre 2017. C’est un dispositif de formations d’accès coordonné, intégrant différentes ressources pédagogiques et combinant plusieurs modes d’apprentissage sur la thématique des données de la recherche. Il sensibilise notamment aux principes FAIR (Facile à trouver, Accessible, Interopérable et Réutilisable). Ce service est maintenu par l’Inist et le Gis “Reseau Urfist”. Son évolution s’opère au sein du CoSO (Comité pour la Science Ouverte) : https://www.ouvrirlascience.fr/doranum-2/

Porteurs :
• Gabriel GALLEZOT, Maître de conférences, Université de Nice Sophia Antipolis, Co-responsable de l’Urfist Méditerranée
• Paolo Laï : Responsable du département du développement de l’offre à l’Inist-CNRS

Projet – « Etat des lieux sur les APC »

Porteurs :  Christophe Boudry, Manuel Durand-Barthez

Ce projet de recherche vise à mieux connaître les pratiques liées aux APC en France, en s’appuyant sur des données recueillies auprès de la communauté de recherche orléanaise.
Ses objectifs sont doubles : d’une part caractériser les articles produits par les chercheurs des établissements d’enseignement supérieur et de recherche orléanais sur l’année 2016 par rapport à l’OA (présence sur l’archive ouverte HAL, caractéristiques des revues dans lesquelles ont été publiés ces articles, APC qu’elles imposent théoriquement…), et d’autre part, comptabiliser les APC réellement payés par ces mêmes établissements. Le projet initié en octobre 2017, est achevé, conformément au planning prévisionnel.
Il a fait l’objet d’une conférence à l’Observatoire des Sciences de l’Univers de la région Centre (OSUC-CNRS), à Orléans le 21 novembre 2017 à l’initiative des porteurs du projet, pour sensibiliser les chercheurs, les professionnels de l’IST et les gestionnaires de la communauté scientifique orléanaise, à l’impact des APC. Les principaux résultats sont publiés dans la revue internationale à comité de lecture « Ethics, Medicine and Public Health » :

Libre accès et frais de publication associés (Articles Processing Charges) : une étude de cas de la production scientifique des établissements d’enseignement supérieur et de recherche orléanais
C. BOUDRY, N. POTHIER, M DURAND-BARTHEZ
Ethics, Medicine and Public Health, 2019, Vol. 10, 75-75
doi : 10.1016/j.jemep.2019.05.005
[https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02321650]

Projet  – INC  – Identifiant Numérique Chercheurs

Le projet de recherche sur les identifiants numériques chercheurs (INC), porté par C. Boudry et M. Durand-Barthez, s’est proposé de faire le point sur leur utilisation par la communauté de recherche d’un établissement d’enseignement et de recherche français de taille moyenne (l’université de Caen), ainsi que d’évaluer l’investissement de ces chercheurs dans les 2 principaux réseaux sociaux académiques. L’étude est terminée, et a bénéficé de la participation d’un stagiaire recruté et rémunéré grâce aux fonds affectés à ce projet par le GIS Urfist. Ce stagiaire a participé à la collecte des données sur les différents sites porteurs des informations nécessaires à l’étude. Les différents INC interrogés sont les suivants : ORCID, ResearcherID. Les réseaux sociaux ResearchGate et Academia ont également été interrogés à des fins comparatives. L’analyse et le traitement de ces données (37 paramètres récoltés pour chacun des 1047 chercheurs enseignants/chercheurs de l’université de Caen) a donné lieu à la publication d’un article dans la revue pluridisciplinaire internationale à comité de lecture PLOS ONE :

Boudry C, Durand-Barthez M (2020) Use of author identifier services (ORCID, ResearcherID) and academic social networks (Academia.edu, ResearchGate) by the researchers of the University of Caen Normandy (France): A case study. PLoS ONE 15(9): e0238583. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0238583